Le projet « Entre-deux » place dans une position centrale un ballon, qui se meut de façon aléatoire et reflète une scène prenant place dans l’espace confiné et artificiel du métro.

Elle questionne notre perception des moments répétitifs de la vie quotidienne, sont-ils des temps de latence, de vide ou au contraire des temps propices à l’introspection, à l’analyse, à la réflexion et la rêverie ?

La seule « vraie » réalité, semble-t-il, serait subjective. L’objectivité doit donc faire place. « le monde est ma représentation », dit de son côté Heidegger.